
Fudge au chocolat
Découvrez le fudge au chocolat : une douceur fondante, facile et rapide à préparer. Parfait pour toutes les occasions, régalez-vous
Découvrez le fudge au chocolat : une douceur fondante, facile et rapide à préparer. Parfait pour toutes les occasions, régalez-vous
Pour nous réchauffer, j’avais prévu un vrai chocolat chaud, préparé avec du chocolat Cacao Barry Cuba, 70 % de cacao et du miel anglais façon Mrs Beeton ou presque car elle coupait le lait avec de l’eau.
Heureusement pour réaliser ce dessert rapide avec les premières poires de la saison, j’ai trouvé des biscuits florentins d’une marque suisse au supermarché, en bas de chez moi.
C’est une création américaine. Il doit son nom à sa couleur brown (rien à voir avec les brownies, petits génies poilus écossais). La légende parle d’un chef ayant tout simplement oublié d’ajouter le chocolat fondu à ses biscuits ou d’un cuisinier qui aurait mit trop peu de farine dans un gâteau au chocolat.
Dans une autre vie, le chef Yvan Cadiou devait sûrement être british. Un mélange entre Keith Floyd et James Martin. On ne s’ennuie pas une seule seconde pendant ses démonstrations culinaires.
Attention ce dessert est décadent et c’est une bombe calorique. Je lorgne dessus depuis un moment.
Gordon Ramsay s’est inspiré pour cette recette, des glaces aux saveurs surprenantes (green bean, young rice, chocolat and coconut) vendues chez un célèbre glacier de Hanoï au Vietnam, le « Kem trang tien ».
Les peppermint creams sont de petites douceurs à la menthe au cœur crémeux, un peu comme les after-eight, que les Anglais préparent à Noël.
La terrine aux trois chocolats est un dessert décadent et crémeux, offrant un parfait équilibre entre le chocolat noir, au lait et blanc.
Version anglaise de l’Irish Coffee au Drambuie accompagné de truffes au whisky écossis tourbé. Gourmandises à servir avec modération
Le mariage exquis du chocolat intense et de la fraîcheur de la menthe atteint son apogée dans cette recette divine de pavé
“One cannot think well, love well, sleep well, if one has not dined well.” ― Virginia Woolf, A Room of One’s Own