Les jolis mots…
« Vous n’imaginez pas le nombre d’analphabètes du bonheur ! Sans parler de l’illettrisme émotionnel ! Un véritable fléau… Ne pensez-vous pas qu’il n’y a rien de pire que cette impression de passer à côté de sa vie faute d’avoir eu le courage de la modeler à l’image de ses désirs, faute d’être resté fidèle à ses valeurs profondes, à l’enfant qu’on était, à ses rêves ? »
« La capacité au bonheur se travaille, se muscle jour après jour. Il suffit de revoir son système de valeurs, de rééduquer le regard qu’on porte sur la vie et les évènements. »
« Le plus grave, ce n’est pas d’échouer. C’est de ne pas avoir essayé. De toute façon, on ne peut jamais se prémunir contre d’éventuelles souffrances, car elles font partie de la vie. Vouloir y échapper est impossible. La vie est faite de pain noir et de pain blanc. Chacun doit l’accepter comme par entière des règles du jeu de l’existence !
Résister à cette réalité ne fait que renforcer le mal-être. C’est pourquoi les sages apprennent à agir sur ce sur quoi ils ont prise, non sur le cours extérieur des évènements mais sur la façon de les appréhender. »
Raphaëlle Giordano – Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une.
« Le gin a une âcreté qui aura toujours le goût de Londres, peu importe où vous en buvez de par le monde. »
Joseph O’Connor
Je clôture cette année 2018 en beauté, avec un cocktail à base de gin. Une idée pour le réveillon.
Histoire du Pink Lady Cocktail
Son nom évoque la couleur rose. Il aurait été inventé dans les années 30, à une époque où la présence des femmes dans les bars n’était pas des plus appréciées.
L’origine exacte du Pink Lady n’est pas connue avec certitude. On dit que le nom du cocktail lui-même est tiré de la comédie musicale de Broadway de 1911 d‘Ivan Caryll du même nom, ou peut-être bien en l’honneur de sa star Hazel Dawn, connue sous le nom de « The Pink Lady ».
À l’époque de la prohibition (1920-1933), ce breuvage était déjà largement connu. Au cours de ces années, il était populaire au Southern Yacht Club de la Nouvelle-Orléans, où il était également proposé sous le nom de Pink Shimmy. Le bruit court que la célèbre star hollywoodienne et sex-symbol, Jayne Mansfield, buvait un Pink Lady avant chaque repas…
La popularité de la Pink Lady pourrait en partie s’expliquer par la qualité souvent médiocre du gin pendant la prohibition (histoire du Gin). Il était nécessaire de masquer son mauvais goût.
Le Pink Lady est une boisson dite « féminine » en raison de son nom et de sa saveur douce et crémeuse. Il fait parti, au même titre que le Cosmopolitan, de ces girls drinks qui contribuèrent à faire évoluer ces habitudes quelques peu machistes.
L’écrivain et barman Jack Townsend est allé jusqu’à émettre l’hypothèse, dans son ouvrage The Bartender’s Book, que l’apparence non menaçante du Pink Lady aurait pu plaire à des femmes peu expérimentées en matière d’alcool…
Ustensiles : Shaker avec passoire
Ingrédients pour un verre à martini
4,5 cl de Gin
1,5 cl de Calvados
2 cl de jus de citron jaune
0.70 cl de grenadine
1 blanc d’œuf
Glaçons
- Vérifier la propreté des verres à martini.
- Verser dans le shaker, sans glace pour l’instant, le gin, le calvados, le jus de citron, la grenadine et le blanc d’œuf.
- Frapper énergiquement au shaker.
- Ajouter la glace et frapper de nouveau.
- Verser le mélange au-dessus du verre à martini, au travers d’une passoire pour ôter les impuretés du blanc d’œuf.
- Décorer d’une cerise.
2 Comments
chere Helen
merci ,pour toutes ces belles citations qui nous font prendre conscience de la chance ou de la vie que nous avons dans la realite
merci pour vos recettes anglaises d’autant que je suis une fan inconditionnelle de la culture anglosaxone
je vous presente a cette occasion une excellente fin d’anne et une merveilleuse nouvelle annee pleine de bonheur et de gourmandises
Chère Danièle,
Merci pour votre commentaire qui me va droit au cœur.
A mon tour, je vous souhaite une excellente année 2019 gourmande et très entourée.
Helen