
L’Entente, le restaurant anglais à Paris
Attention, ce n’est pas un Pub et de la Pub grub, mais s’il vous plaît, une brasserie chic, très chic, à l’ancienne, situé rue Monsigny dans
Attention, ce n’est pas un Pub et de la Pub grub, mais s’il vous plaît, une brasserie chic, très chic, à l’ancienne, situé rue Monsigny dans
Sunday Lunch dans un authentique pub anglais situé au cœur des Cotswolds, dans le hameau de Cockleford au milieu des champs, ruisseaux et fermes à 15 minutes de Cheltenham.
Welcome au Palais des ducs de Somerset… Pour vous y rendre, rien de plus simple. Il suffit de traverser le Waterloo Bridge ou, plus simple, prendre le Strand. C’est à deux pas du London Eye.
Nous prendrons un petit-déjeuner copieux au Breakfast club 33 d’Arblay St avant d’arpenter Oxford street, Regen’t Street jusqu’à Piccadilly Circus. Les filles, jamais fatiguées de faire du shopping, feront une halte à Primark (des petits prix), Paul Smith, TopShop, John Lewis…
Direction le Pays de Galles, le royaume des randonneurs. Avant d’escalader le Snowdon (Yr Wyddfa) premier arrêt dans la petite ville de Llangollen, le long de la frontière anglaise.
Nous quittons notre banlieue lointaine pour nous rendre au Bal Café situé derrière la place Clichy dans une petite impasse bien cachée. Le restaurant est vivement recommandé par de nombreux guides parisiens.
The Bombardier
2, place du Panthéon
75005 Paris
Tel : 01 43 54 79 22
Décor moderne et salle spacieuse. Le restaurant est ouvert depuis 1975. La cuisine, à base de produits de la mer, est de qualité et sans prétention. Les cuissons des poissons sont justes. Que du bonheur !
On continue notre voyage dans les Cornouailles. Après une courte promenade à Penzance, on s’arrêtera plus longuement à Marazion admirer le Saint Michael’s Mount.
La cuisine, au fond de la salle, est semi-ouverte. On peut même apercevoir le chef, Matt Ong et ses acolytes, à l’œuvre. Nous sommes chaleureusement accueillies par le patron, Haydon Clout.
“One cannot think well, love well, sleep well, if one has not dined well.” ― Virginia Woolf, A Room of One’s Own